Je mercotte, Tu mercottes, Nous mercottons
La recette de Mercotte m'avait tapé dans l'oeil à la première lecture ; j'en ai rêvé et j'ai attendu avec impatience le dîner de Noël pour pouvoir en déguster. Il me fallait un autre ingrédient indispensable et de très bonne qualité.
Je n'ai rien changé à la recette de Mercotte pour plusieurs raisons
- je lui fais entièrement confiance
- je voulais vraiment le manger cru
- je voulais une recette moins traditionnelle
J'ai suivi scrupuleusement tous ses recommandations mais j'ai sauté l'étape congélateur car je l'ai préparé quelques jours avant Noël
Je ne sais pas encore si vous avez deviné mais je peux vous dire que je me suis régalée et je pense avoir beaucoup de mal maintenant à en manger autrement
Maintenant vous avez toutes les billes en main ; reste plus qu'à vous donnez le lien vers la recette de Mercotte : le foie gras cru
L'assaisonnement est parfait, il aurait fallu que je le répartisse un peu mieux et je ne vous conseille absolument pas d'enlever un seul ingrédient, chacun est essentiel pour une bouchée divine.
Je vous laisse, il m'en reste un peu et j'ai bien l'intention d'en profiter jusqu'à la dernière bouchée. Par contre, j'ai suivi la recommandation de ne pas prévenir mes invités qu'ils allaient déguster un foie gras cru, ils ont adoré et il était trop tard pour faire les mijaurées.
Et vous ?
A la question que boire avec un foie gras ? je fais confiance à Emmanuel pour vous répondre dans un spécial vin - foie gras.
Malheureusement, je ne mercotte pas encore en bûche de Noël alors comme l'année dernière, j'ai fait confiance à un pâtissier de quartier mais pas n'importe quel pâtissier. Il n'est pas Pierre Hermé, ni Sadaharu Aoki mais j'aime ses bûches fruitées, son travail et l'utilisation de produits de qualités.
Le Triomphe
95 rue d'Avron
75020 Paris
et vous pouvez découvrir les pâtisseries plus classiques sur leur site.